mercredi 7 août 2024

Musique et forêt

 Découverte sur France Inter ce jeudi, Olivia GAY organise des concerts pour sensibiliser le public à la défense de la nature et à la préservation de la santé de nos forêts. 

Elle a particulièrement ressenti l'impact des méga-feux et met en valeur le lien entre le bois et les instruments de musique.

 Voir son Interview sur TV5MONDE

jeudi 1 août 2024

Avant de s'enduire de crème solaire


Dans "La Vie" du 27 juin vous trouvez le nombre de tonnes de crème solaire qui finissent dans les mers chaque année dans le monde. Calculez vous-mêmes ce nombre de tonnes : (100+200+300+400+500+1000) x 10.

Oui, c'est bien 25 000 tonnes  par an.

Les plus dangereux contiennent de l'octocrylène qui se dégrade en perturbateur endocrinien. Donc privilégier des filtres anti-UV minéraux (dioxyde de titane et oxyde de zinc) aux filtres chimiques.

Substances à éviter : benzophénone-3 (ou oxybenzone), octocrylène, octinoxate, homosalate...

dimanche 28 juillet 2024

Les grand espaces

 


En conclusion d'une émission "Echappées belles" sur la Norvège, l'animateur indique qu'il s'est souvent demandé : POURQUOI LA NATURE NOUS REND SI HEUREUX ?

Il évoque le contact avec les choses simples.

Et il ajoute "J'ai pris de grandes décisions quand je me suis trouvé dans de grands espaces".

Quand son fils est heureux, il s'écrie : Merci, la Nature !


Et vous ? N'hésitez pas à témoigner des effets de la nature sur votre vie.

vendredi 19 juillet 2024

NOTRE MAISON COMMUNE : livret de référence

 Le livret édité par le Saint Siège en partenariat avec l'Institut de Stockholm pour l'Environnement est un support de qualité et une référence pour aborder une réflexion sur l'écologie dans laquelle tout est lié : l'homme, la Création, Dieu et les relations entre chacun. 

télécharger une version imprimable en A4 ou en A3 et facile à projeter sur un écran.

jeudi 18 juillet 2024

Merveilles à admirer

 En cette période estivale, je note un extrait du livre de Timothy Radcliffe "Que votre joie soit parfaite" :

"Voir les choses telles qu'elles sont pourrait sembler assez simple ; le chimiste n'a qu'à regarder dans son microscope, le biologiste, à disséquer le rat mort et voir ce qu'il y a dans ses viscères, l'historien, à vérifier les dates, etc. 

Mais l'une des leçons que nous a enseignées le mouvement écologique, c'est de voir les choses telles qu'elles sont est difficile ; il faut DÉSAPPRENDRE À LES REGARDER COMME SEULEMENT UTILISABLES, EXPLOITABLES, d'un point de vue uniquement utilitaire. Il existe une perception contemplative et désintéressée des choses qui n'interfère pas avec elles et se réjouit de leur existence. Et cela, il nous faut l'apprendre non seulement au contact d'une forêt tropicale mais aussi bien au contact les uns des autres..."

Alors, si vous avez la chance toute simple de vous émerveiller, cet été, n'hésitez pas à partager votre contemplation pour ce blog. (Une photo et une brève légende). Merci.    ► Contact ◄   


mardi 16 juillet 2024

Réfléchir : la mode à quel prix ?


 
A quel prix la mode éphémère

En quelques chiffres, voici des repères 

pour un habillement responsable.

cliquer ◄ voir le film

LAUDATO SI  n° 211 :L’éducation à la responsabilité environnementale peut encourager divers comportements qui ont une incidence directe et importante sur la préservation de l’environnement tels que : éviter l’usage de matière plastique et de papier, réduire la consommation d’eau, trier les déchets, cuisiner seulement ce que l’on pourra raisonnablement manger, traiter avec attention les autres êtres vivants, utiliser les transports publics ou partager le même véhicule entre plusieurs personnes, planter des arbres, éteindre les lumières inutiles. Tout cela fait partie d’une créativité généreuse et digne, qui révèle le meilleur de l’être humain. Le fait de réutiliser quelque chose au lieu de le jeter rapidement, parce qu’on est animé par de profondes motivations, peut être un acte d’amour exprimant notre dignité.

Cas de conscience : quel poisson consommer ?

 


Dans sa rubrique "Cas de conscience" le journal La Croix l'Hebdo du 8-9 juin met en balance le dilemme entre l'invitation à manger du poisson 2 fois par semaine et la surexploitation des ressources.

Pour certains poissons, tel le flétan, la ressource a été divisée par 100.

Causes principales : le déréglément climatique, mais aussi la pêche industrielle avec de grands chaluts qui traînent sur les fonds marins et l'élevage en masse de poissons carnivores nourris avec de la farine de poissons pêchés dans les eaux d'Afrique et d'Amérique latine.

Laureline Condat conseille donc d'éviter la truite et le saumon pêchés dans ces conditions et favoriser le poisson issu de la petite pêche côtière.