On sait que, dans les forêts, les espèces d'oiseaux se répartissent les étages des arbres depuis le tronc de l'arbre jusqu'au faîtage. Et de même, partout dans la nature : certaines espèces d'oiseaux volent très haut dans le ciel tandis que d'autres rasent le fil de l'eau. Il en va de même pour nos grands monuments.
Réjouissons-nous que cette biodiversité soit prise en compte dans la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris qui abrite une foule d'espèces animales : des pigeons, des moineaux, mais aussi des faucons crécerelle et des chauve-souris.
La Ligue de Protection des Oiseaux contirbue à cet équilibre.
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Le dernier numéro de La Hulotte fournit plein de détails sur ► la vie des chauve-souris, ◄ si utiles à l'équilibre de la biodiversité.
LAUDATO SI N° 35 : "Quand on analyse l’impact environnemental d’une entreprise, on en considère ordinairement les effets sur le sol, sur l’eau et sur l’air, mais on n’inclut pas toujours une étude soignée de son impact sur la biodiversité, comme si la disparition de certaines espèces ou de groupes d’animaux ou de végétaux était quelque chose de peu d’importance. Les routes, les nouvelles cultures, les grillages, les barrages et d’autres constructions prennent progressivement possession des habitats, et parfois les fragmentent de telle manière que les populations d’animaux ne peuvent plus migrer ni se déplacer librement, si bien que certaines espèces sont menacées d’extinction. Il existe des alternatives..."